Éléonore est allée se coucher (avec le kangourou est-allemand). Je peine à digérer, et, par voie de conséquence, à garder les yeux ouverts. Mais je ne saurais aller me coucher à cette heure-ci, n’est-ce pas ? Et puis, Mailman me tient accroché. Je l’ai à peine quitté depuis que nous sommes rentrés. Il n’y a pas beaucoup de surprises, mais c’est très bien écrit (je veux parler du français et je pense que l’original doit l’être aussi) au point que je ne pense pas qu’il s’agit d’une traduction. (Les lombes m’agacent toujours, avec quelques accalmies de temps à autre.)
4 octobre 2019