Il n’y a pas d’échange entre auteur et lecteur. Le lecteur doit être vulnérable, déshabillé ; l’auteur doit être le plus fort. Que peut donc ressentir un lecteur qui n’écrit pas, est donc à la merci totale de l’auteur (donc de l’autre ; et dans « AUTEUR », il y a « AUTRE ») ? (Et en anglais : author, other)