« C’est elle qui baptise son père le “ pauvre vieux mâle ” et sa mère la “ pauvre vieille femelle ”, ou encore, en abrégé, “ LPVM ” et “ LPVF ” […]. »
Elle traduit littéralement, je suppose, « poor old male » « poor old female », ce qui n’a rien de moqueur, d’irrévérencieux ou d’insultant (ou de « vengeur » comme elle le dit plus loin), puisque « male » et « female » n’ont pas le même sens restrictif qu’en français. Ou alors, Diana le dit en français, ce que tendrait à prouver les initiales qui sont celles de la traduction en français. Cela aurait une tout autre portée, mais l’autrice ne le précise pas. (Après vérification – le réseau est tout de même une belle machine –, il s’agit bien de « poor old male » et « female » qui donnent TPOM et TPOF. L’auteur – anglais – précise qu’il ne s’agissait pas des seules formules que les enfants employaient pour désigner leurs parents qui les prenaient avec « good humour ». Un équivalent en français pourrait être « le pauvre vieux » et « la pauvre vieille »…)