Ce matin, j’ai repris Selznick et je ne peux m’empêcher de penser à Gloom, à mettre les deux en parallèle (mais un livre se construit comme un film – ou plutôt, un film se construit comme un livre). Est-ce que je peux considérer Innocent, qui me relit et corrige, commente, comme un collaborateur – ou comme mon éditeur (il a un œil, et il est mon œil, voit ce que je ne vois pas) ?

 

29 juillet 2019