Il s'agit de Faire du feu de Stevenson, ou vraisemblablement de Stevenson, car Léo n'en était pas sûr et il est aussi possible que je me sois trompé, aie mal compris. Je m'étais renseigné auprès des deux hommes qui tiennent la boutique. Ils avaient haussé les épaules, et l’un d’eux m’avait aidé à tirer deux ou trois Stevenson des rayons. Rien. J’avais ensuite cherché chez un autre bouquiniste où j'ai trouvé quatre ou cinq livres de Stevenson, dont trois recueils. J’avais eu beau tout retourner, je n’avais pas trouvé la moindre mention d’un texte qui, par son titre, ait pu rappeler le titre français. C’est à ce moment-là que j’avais vraiment douté. Le lendemain, j’avais fait une recherche sur le réseau ; rien en ce qui concernait Stevenson. Le lendemain, au cours latin/grec, j’avais posé la question à Léo qui m’avait dit qu’il ne s’agissait pas de Stevenson, mais d’un autre auteur anglo-saxon très connu dont le nom, sur l’instant, lui échappait. J’avais de nouveau fait une recherche sur le réseau en me demandant qui aurait pu écrire un tel texte. J’avais pensé à Jack London. C’était lui… Il n’empêche qu’aujourd’hui je regrette de n’avoir pas acheté les Stevenson à bas prix (Tibère m'en a dit le plus grand bien)…
3 décembre 2001