« Ici, les paysages se succèdent à une échelle perceptible et, depuis que je marche, je me sens, sur la peau de la France, comme une puce sur le corps d’une femme. »

 

Lacarrière a une grande attirance pour la femme, je le savais, et il ne s’en cache pas (pourquoi s’en cacherait-il ?). Il avoue du reste deux rencontres féminines au cours de son périple, mais comme simple mention en fin d’ouvrage, il n’en dit rien de particulier. C’est dommage, je pense qu’il aurait dû les laisser à leur place dans le fil du parcours