Calme tout à coup au rez-de-chaussée. J’en profite pour me caler (couler ?) dans le sofa jaune du salon de lecture avec un café, une cigarette, le NRF 327 et Errances. Je survole les textes restants, contributions diverses d’auteurs inconnus qui, tous, dans le même style, le même ton, disent les feuilles mortes, les petits chemins, les fleurs, les forêts, etc. Ça m’a particulièrement agacé. Je n’ai toujours pas écouté le 45 tours. Comme le silence persistait, je me suis assis au piano pour reprendre Jacques et Benoît...
19 avril 2006