Terminé un peu distraitement. La Varende y est égal à lui-même, mais j'en sors un peu insatisfait. Ce texte tire sur le roman historique, et j'y ai senti un peu de lourdeur, en tout cas moins de vivacité et de pétillement. Peut-être est-ce dû aussi à la musique qui depuis quelques jours me tient tout entier. Je crois bien que dans les jours qui suivent, il y aura peu d'écriture et de lecture...

17 septembre 1990