Qui revient souvent : la majorité des journals
ne sont pas en langue
française.
209
« il est affronté à la réalité » ?
212
« Je me sens moi-même misérable de rétrécir à quelques lignes cette vie qui souffre,
qui cherche un appui dans l'écriture, et une réponse sur le Net. » Non. Il n'y a pas de
quoi puisqu'elle s'exhibe et s'expose : il faut qu'elle en paie le prix...
Lejeune, p. 220 et quelque, semble être en faveur du « si vous n'êtes pas contents, partez, je vous emmerde » de certains sites. Non. On n'entre pas par effraction, à l'improviste dans un site « intime » : on y est invité. En tant qu'invité, on doit être reçu. (Voir pour hôte, hospitalité, convive ; et l’on parle d’hébergement.) Il faut donc que soit respecté le protocole social en ce sens (pourquoi social ? non : humain)... Ce protocole, supposant le respect, fonctionne dans les deux sens ; c'est dire que l'auteur du journal ne peut écrire n'importe quoi...