J'arrête ;
je n’aime pas ce type de récit envolé. Ça ne manque pas de qualités, mais ce
sont des qualités qui ne m’intéressent pas. Une phrase
LYS p.
29 : « L’autre soir, une rivale lui a fait porter des lys empoisonnés. » Pas
mal. (Depuis Wenders, je ne peux plus voir « rival » sans immédiatement penser à
« avril »…)
19 février 2002