Sur fond d'une étrange musique, tirée du fonds Childéric, inépuisable, d’un certain Sylvain Chauveau, intitulée How to live in small places (ces notes lentes et espacées égrenées au piano me font penser à moi), je poursuis le transfert du stock de la boutique de Laura dans la mienne (avec ce terrible constat que les prix sont de plus en plus bas et qu’il devient de plus en plus difficile d’en proposer de supérieurs sous peine de perdre de l'argent). J’en profite pour poursuivre l’épuration de ma propre bibliothèque d’où je sors d’étranges choses complètement inconnues. Parmi ceux qui ont encore une trace dans ma mémoire, il y a La belle dame de Lawrence. Des commentaires figurent dans le site ; mais ce qui n’y figure pas, je viens de le constater en le feuilletant, c’est le marque-pages pourvu de notes. Je répare cet oubli...