À Emmaüs, j’avais acheté un livre consacré à Venise, Venise sauvée par les chats, d’un certain Robert de Laroche. Je l’ai entamé ce matin. Je ne suis pas sûr d’aller bien loin, l’écriture est quelconque et pas maîtrisée, parfois un peu ampoulée. Quant aux chats, le mystère reste complet : je ne vois pas de chats à Venise, ou pas tant qu’on le dit, que tout le monde le dit. (Il joue un peu à l’écrivain, de la même manière que moi dans le fond, il n’y a pas si longtemps ; encore qu’ici ça soit un peu convenu. Mais il a une bonne tête, a l’air sympathique – une photo de lui figure sur la quatrième de couverture…)