Ce matin, barbouillé, j’ai eu de la peine à lire, Anaté-daré qui tarde un peu à se terminer. En même temps, je ne suis pas sûr que ça me plaise, étrange mélange de plaisir et de déplaisir. Je trouve cette écriture fragmentée (assez datée, ici) adaptée à la langue japonaise, à un ton japonais, mais je ne m’y attache pas vraiment. Je fais le constat de cette réussite d’écriture (ce n’était peut-être pas son but ; il faudrait voir s’il écrit toujours de cette manière ou non, si tant est qu’il ait écrit autre chose, qui est-il, après tout ?) et ça semble suffire ; comme si je n’avais pas besoin d’aller jusqu’au bout…

 

14 décembre 2016