Reste très bien de bout en bout, hormis le fait que je ne comprenne pas pourquoi une écriture qui manifestement se veut différente se préoccupe de sujets aussi éculés et conventionnels que l'adultère (même dans le sens d'une « revisitation »). Encore et toujours, je m'étonne que la majorité des « écrivains » soient si platement imaginatifs...
30 avril 1990 (dans une lettre à B***)