Après le repas, je me suis installé au salon avec Être sur Terre. J’avais posé le tout sur mon second bureau, avais avisé celui-là, l’avais feuilleté, en avait lu une page au hasard. Il y avait un ton qui m’avait plu. Je l’ai entamé ; je n’ai pas bougé de mon fauteuil, y suis resté deux heures après avoir décrété que je n’allumerais pas l’ordinateur et que j’irais lire au lit tôt. En effet, à minuit j’y étais. J’y ai encore lu une heure avant d’aller saluer ma flamme...
25 janvier 2011