J’ai lu quelques pages d’Acqua alta qui commence à sérieusement m’agacer. Je viens à l’instant de faire apparaître son visage sur l’écran et il correspond bien à l’idée que je m’en faisais : une États-unienne un peu chic qui, oisive et prétentieuse, se pique d’écriture pour payer ses loyers là-haut. Pauvre Venise qui n’avait pas besoin de cela. J’ai rarement lu prose si mal fichu (faute intéressante) et je tremble à l’idée qu’elle ait été « enseignante de littérature ». C’est lourd, bête et convenu, et même l’intrigue policière est incapable de me retenir. Vais-je poursuivre ne serait-ce que pour voir jusqu’où elle ira ?...
16 décembre 2008