J’ai arrêté à trois pages de la fin. J’ignore pourquoi. Avant de ranger ces deux éditions, j'ai jeté un œil à la postface où la traductrice apporte quelques précisions. C’est elle qui parle de traduction plutôt que d’adaptation ou d’actualisation du texte d’origine qui, à la croire, est aujourd’hui illisible. C’est une autre langue, dit-elle, et de ce fait il s’agit d’une traduction. Oui. Il s’agit de Séverine Auffret qui ajoute quelques détails au sujet du texte et de l’auteur. Il n’aurait pas été déplacé que l’édition de Timothée fasse mention ne serait-ce que de son nom...

 

12 avril 2008