« Ce “ cliché humide ”, était-ce une photo sur verre ? demanda Fumiko. – Oui. Il suffit d’enduire d’une émulsion une plaque de verre et la photo est développée pendant que la plaque est encore mouillée. »
Le traducteur se nomme Amina Okada, un Japonais sans nul doute. Il ne pourrait donc pas se tromper quant aux particularités de sa propre langue... Je ne sais pas s’il s’agit du même que celui de l’intégrale de Pochothèque...