Note de bas de page : « signes empruntés, pour l’usage phonétique, à l’idéographie chinoise et représentant les 47 sons du syllabaire japonais ». C’est à vérifier, mais je ne suis pas sûr que ce soit cela ; ce sont les kanji qui ont été empruntés aux chinois et non les hiragana et les katakana qui sont spécifiques au japonais...