Fini, lu dans trois endroits différents : sur le balcon, au soleil de la chambre d’appoint (dans le grand fauteuil Emmanuelle inconfortable – je savais bien que ce type de fauteuil me rappelait quelque chose : l’affiche d’Emmanuelle), achevé dans l’un des clubs. Je n’ai rien à en dire. C’est moderne. Suit Tabataba, je le lirai plus tard. Je me sens fatigué (est-ce la marche de ce midi ?)