En parvenant au terme de cette autobiographie – dans le sens le plus plat et commun du terme – et sous réserves d’une connaissance de l’œuvre, je me demande ce qui a bien pu justifier la publication de ces divers fragments d’une vie qui, somme toute, n’a rien d’exceptionnel et dont la narration est on ne peut plus ordinaire. J’ai l’impression que le monde aurait parfaitement pu se passer de ce texte et, davantage encore, de sa réédition