Il accepte une exposition de ses photos avec son nom d’emprunt alors qu’il est censé se cacher. C’est invraisemblable. Mais, et c’est ce que j’ai compris quelques pages plus loin, il fallait bien qu’il en arrive là où il voulait en arriver.

Je note aussi la réaction de son entourage lorsqu’il annonce qu’il ne veut pas être photographié. Il se fait taxer de prétentieux, de vaniteux, de frimeur. De la même manière que le fait qu’il refuse le succès le fait passer pour un malade mental. Sans doute est-ce lié à la mentalité états-unienne. Ici, le fait de vouloir rester dans l’anonymat est une preuve d’humilité, d’abnégation.