Un court dialogue en espagnol non traduit entre la nounou portoricaine et le narrateur. Mais il le résume en trois mots et sa traduction n’était pas vraiment nécessaire… Du reste, je suis assez étonné de la qualité générale de la traduction pour un roman grand public. Les dialogues, notamment, ne sont pas toujours très naturels en français et je les lis presque en anglais, mais j’ai lu l’ensemble sans penser qu’il s’agissait d’une traduction. Le traducteur s’appelle Bernard Cohen.