Je consacre chacune de mes cigarettes à Kerr, ça roule. Je me demande, tout en lisant, ce qui rend le personnage de Gunther si sympathique, du moins à mes yeux. Il est un fait aussi que le tout est extrêmement bien fait, et c’est prenant, comme l’étaient les précédents que j’ai lus de lui. Je ferme les yeux sur le français, pas si mauvais en définitive, si j’excepte les innombrables « ce qui », « ce que » et les ruptures de phrase (peut-être présentes dans l’original, mais l’anglais n’est pas le français). Je me demande aussi, pour la énième fois, pour quelle raison la période nazie exerce une telle fascination… Sinon, pas grand-chose ; saisie, des bricoles à droite à gauche, un peu de piano et de guitare (mais je m’en lasse vite ; je ne sais plus quoi en tirer de neuf – c’est triste, tout de même, alors que c’est mon instrument), télé, et donc lecture…
8 novembre 2023