Je viens d’achever La pâle figure (qui est-elle exactement ? c’est tiré d’une citation de Nietzsche en exergue : « Bien des choses me répugnent chez vos gens de bien, et je ne parle pas du mal qui est en eux. Combien j’aimerais qu’ils possèdent une folie dont ils pourraient périr, comme ce criminel à la pâle figure. ») et me sens désœuvré. Les deux ne sont pas liés ; c’est ce que je ressens depuis ce matin. Je ne parviens pas à m’attacher à quoi que soit (je devrais peut-être en profiter pour sortir – mais il fait froid, quoique le soleil ait point). En fond, Les Indes galantes version Christie que j’écoute en suivant le livret. J’en avais parlé à Sosthène qui ne connaissait pas. Il me parle du passage qu’il préfère et comme ça ne me dit rien, je réécoute la totalité…