La dernière fois que j’étais venu à l’appartement, j’avais posé sur la table du séjour les deux pavés que Sosthène m’avait prêtés, mille pages chaque. Allais-je les lire un jour, et traduits de l’anglais, qui plus est ? Oui, au moins un, La trilogie berlinoise, de Philipp Kerr (« policier » dit la couverture). Je l’ai entamé hier soir, en ai lu cent pages d’un coup, et, aussitôt mon bol de céréales avalé, m’y suis remis… Berlin, 1936, les Jeux Olympiques, un détective privé à la mode Chandler, c’est bien enlevé et bien écrit, ça me plaît…