Dans l’attente de ma deuxième cigarette, je poursuis la refonte de Lanlys. Ciel couvert, doux, du monde dehors (j’avais oublié qu’il s’agissait d’un long week-end – à ce propos, pas une vente depuis trois jours), Kerouac dans la loggia avec la première cigarette ; je ne suis pas emballé…