« Dans les lettres, son nom n’était jamais écrit à l’aide d’idéogrammes chinois mais en katakanas,

si bien que je ne pouvais pas deviner qu’il avait un autre sens. »

 

Note à « katakanas » : « Écriture syllabique simplifiée du japonais ».

 

Le traducteur ne se trompe pas, encore que ça soit sommaire. Le problème, c’est que je retrouve ici une mention aux katakanas qui figure dans L’archipel des séismes et qui m’avait laissé quelque peu perplexe… Je doute qu’il s’agisse de katakanas ; je dirais qu’il s’agit d’hiragana ; mais c’est un japonais qu’il le dit (le traducteur l’a-t-il bien traduit ?). Je vais demander à Amiko…

(En attendant sa réponse, je jette un œil sur le réseau, katakana, Wikipedia, où je tombe sur le mot « bicamérale » qui me renvoie à une page où l’on m’explique qu’une écriture est bicamérale lorsqu’elle oppose deux oeils de format (ou casse). Le correcteur, tout comme le dictionnaire, refuse ce pluriel étrange. Renseignements pris, il s’agit d’un terme typographique : un œil, des oeils… Je suis tout de même étonné que Le Robert l’ignore – ou le passe sous silence)… Concernant les katakanas, l’auteur de l’article va bien dans mon sens (et dans celui de ce que j’ai appris) : les katakanas servent à transcrire les mots et les noms propres étrangers, les noms scientifiques des plantes et des animaux, les onomatopées japonaises (j’ignorais pour ces dernières). Mais dans le texte, rien ne dit explicitement qu’il s’agit de l’application d’une règle générale : Aki, qui voulait simplifier l’écriture de son nom en kanji, a peut-être tout simplement choisi de l’écrire en katakanas plutôt qu'en hiraganas...