Je pense que je ne vais pas le terminer. Quelque chose coince, sans doute lié en partie au film de Haneke : je ne parviens pas à lire sans voir le visage des personnages, ni sans attendre de vérifier si la fidélité au texte est toujours aussi exacte – c'est paradoxal puisque, justement, je devrais être entraîné et non freiné. (Et puis cet imparfait du subjonctif dans la bouche des filles du village – ou ai-je lu ou entendu que Vialatte n’avait pas été un bon traducteur ?)

 

21 juin 2008