Minuit passé, je suis en train de préparer les livres
pour la rubrique. J’en suis à Belle de jour pour laquelle
j’ai omis de dire une chose qui m’avait frappé dans le livre et pas
dans le film (mais qui est peut-être présente, je ne m’en souviens pas), c’est-à-dire
le côté très moral de cette aventure où, au bout du compte, tout rentre dans
l’ordre : la bourgeoise regagne sa place de bonne épouse auprès de
son mari invalide et, d’une certaine manière, l’honneur est sauf.
(À l’image du comportement de Belle, le texte ne se résume finalement
qu’à un encanaillement.)
19 mai 2002