234 « parti aux Etats-Unis » de nouveau après un « pour » auparavant...
Indifféremment, pour, aux ; un coup l’un, un coup l’autre, est-ce une machine qui a traduit ? (Non, dans ce cas, il n’y aurait pas le passage de l’un à l’autre, alors ?) (Je suppose que les sous-titres pour malentendants, en direct ou non, sont produits par une « machine » ; je remarque que les fautes de langage sont systématiquement corrigées, par exemple, si un intervenant quelconque dit « je pars en Belgique », le sous-titre sera « je pars pour la Belgique ». Vivent les machines – et les machins…)
246 « Cette combativité…, elle… » Caca popo…
« Cette combativité, qui avait étonné ses propres parents,
elle l’avait sans doute puisée […]. »
Au cours du récit, deux coupures d’électricité se produisent dans le café ;
à ce moment-là, le texte est écrit blanc sur noir. Pas mal…
Le texte japonais. Apparemment, la troisième ligne, à la droite de la fenêtre, est le nom de l’auteur ; je reconnais « kawa », la rivière, puis la bouche, « kuchi, guchi » ; puis (mais je dois m’aider du dictionnaire, et ne les trouve pas, je passe) ; première ligne à gauche de la fenêtre : SHI, penser, croire, i, SUI, sortir, ga ; ligne suivante : SHOO, éteindre, disparaître, é na i ko (non : u), tsu (non : chi) ni ; donc, après vérification et correction : SHI i SUI ga SHOO é na i u chi ni… Me voilà bien avancé…
18 juillet 2024