Notes :
p. 14 les pleureurs...
« Des pleureurs vinrent de loin, s’écorchant le visage
et s’arrachant les cheveux suivant la coutume. »
p. 17 les pleureurs...
« Les visages écorchés des pleureurs étaient encore ensanglantés. La coutume exigeait qu’ils ne se lavent la figure ni dans le village où avait eu lieu le meurtre, ni en chemin. Ils ne pouvaient se nettoyer qu’après être rentrés chez eux. »
p. 28 la cartouche pour tuer l’épouse
« En observant les baluchons bigarrés qui contenaient sans doute le trousseau de la mariée, il se demandait dans quel coin, dans quelle boîte, dans quelle poche, dans quel gilet brodé les parents de la jeune mariée avaient placé “ la cartouche du trousseau ”, avec laquelle, selon le Code, l’époux avait le droit de tuer sa jeune épouse, si elle tentait de le quitter. »
p. 178 LAHUTA. Qu’est-ce ?
« Tout près d’elle, sur quelques sacs bariolés,
quelqu’un avait posé une lahuta. »
2 mai 2005