J’ai « déniché » dans le placard de l’appartement un Kadaré, La niche de la honte (qui, en l’occurrence, serait la déniche de la honte : que font les livres derrière les seaux de sable, les nattes et les sièges de plage ?). Le soleil semble vouloir apparaître. Bien sûr, mon regard est sans cesse attiré par la mer, le ciel, et de nouveau, je vois à l’horizon une forme intrigante : ce que me montre l’optique des jumelles, c’est une masse de formes à l’image d’une ville constituée de buildings. Plein nord. Qu’est-ce que c’est ?

 

8 août 2018