Épouvantables comme on peut l’imaginer. Le passage est trop long pour que je le rapporte en détails, mais : « Le nombre des femmes que l’on attire ainsi dans les usines est d’environ deux cent mille par an. Sur ce nombre cent vingt mille ne rentrent jamais à la maison paternelle ; elles deviennent des vagabondes et passent d’une usine à l’autre, ou prennent service dans des maisons de thé, ou deviennent des prostituées. »

 

C’est en 1915. Mais était-ce (et est-ce ?) différent ailleurs ?