Il s’agit de la discipline :

« Nulle race jamais n’en a subi une plus intime ni plus prolongée. C’est cette discipline qui lentement – au prix de quels renoncements individuels ! – a fait de la femme japonaise un être exquis de dévouement, d’abnégation, de douceur et de charme ; du Japonais, un stoïcien souriant préparé à tous les efforts et à tous les sacrifices. »

 

Je note qu’il dit « femme japonaise », mais « le Japonais ».