Après le repas, j’ai poursuivi la lecture de La Mythologie, puis, en m’attardant de temps à autre sur quelques passages, j’ai achevé de feuilleter le gros Jourdain. Ses intérieurs d’avant la Première guerre me laissent assez pantois ; l’art Déco déjà dans toute sa splendeur avant même que l’Art Nouveau ne soit éteint. J’ai encore du mal à imaginer la rectitude et la sobriété de ces lignes à l’époque où Proust vivait encore… Quelques notes