Jacques m’a appelé, il était en train de répéter la partie « basse » de Philippe et Jacques. Il m’a demandé de la lui chanter au téléphone, répondeur branché ; j’ai trouvé plus « pratique » et plus judicieux de lui faire une copie de l’enregistrement synthétique. « D’accord, je passe. » Je lui ai fait une série de sept copies à la suite sur une face de cassette et lui ai proposé de prendre ma place, puis, ça pouvait être plus intéressant, de réaliser les trois combinaisons : Thierry et moi, Thierry et lui, et lui et moi. Nous choisirions la meilleure comme enregistrement définitif... Nous en avons profité pour survoler Henri-Joël, pièce extrêmement complexe qui demandera beaucoup de travail...