J’ai appelé Yann Ribecourt, hoboïste, le dernier de ma liste. Il m’a proposé un rendez-vous jeudi prochain à la gare (pourquoi la gare ?). Il m’a demandé des nouvelles de Valérie, s’inquiétait car elle n’était pas venue jouer à un concert. « Non, je n’ai pas de nouvelles... »

J’ai achevé la constitution du journal du projet jusqu’à ce jour. Il me semble désormais nécessaire de le rédiger sur un cahier différent.

Yann m’a paru endormi, ou distrait, comme égaré. Son signe de reconnaissance pour notre rendez-vous : « Je n’ai plus beaucoup de cheveux ! »

Aurélia n’est pas disponible avant le 20 juillet...