Deux choses me tracassent : la succession des pièces qui, liées et reliées ou non par un additif musical, peut engendrer la longueur, devenir langueur et monotonie, d’autant qu’il n’y a que des pièces solo en introduction (et l’accord entre image et son ne sera pas facile à réaliser) ; puis la linéarité, la chronologie des faits et événements rapportés... J’y retourne (je loue l’informatique qui, dans ce type de travail de collage, de montage, est tout de même inestimable).

(La simultanéité est réalisée, mais jour par jour et non dans la totalité.)

(Faut-il jouer la carte de la confusion, quitte à aboutir au désordre non contrôlé et voulu comme tel ? S’en remettre à l’aléatoire ?...)