Je suis allé voir Nadège, ma médecine faite charme, pour lui « soutirer » une dizaine de jours d’arrêt qui me permettront d’entamer le long et lourd travail de frappe sur ordinateur des publications des journals pour le projet. Puis j’ai passé l’après-midi en ville pour photocopier les partitions. Après être passé chez Mylène pour récupérer l’original du dossier que je lui avais laissé, je suis allé chez Thierry. Je lui ai tout exposé, avec, je dois dire, un certain brio (mais combien de fois ai-je répété les mêmes mots, les mêmes phrases, fait les mêmes gestes ?). Il m’a paru très intéressé, et s’il n’a pas ouvertement accepté, je pense pouvoir le compter comme participant. Il m’a renvoyé à un tromboniste, et une flûtiste. Sur la route du retour, je me suis arrêté chez Richard. C’est Anne qui m’a reçu. J’ai défini avec elle le plan des partitions pour piano : « tu te chargeras des hommes, moi des femmes ». Ça l’a amusé et lui a plu ; elle aura donc quinze pièces à exécuter, et moi treize, sans compter Valérie, bien entendu. Comme prévu, je leur ai laissé le dossier des cahiers pour les différents instrumentistes. Une fois rentré, je me suis mis à la frappe de la Rue V...