Valérie est passée. Elle déménage, va partager un appartement avec un « copain ». Elle m’a parlé de Pacôme et a renoncé à se rendre chez STAZI où elle risquait de le rencontrer. Je l’ai sentie très triste, amère ; manifestement, il compte encore beaucoup pour elle... Nous avons reparlé de Frescobaldi pour la fête Chocolat. Je pense renoncer, puis lui ai assuré que je ferais le maximum pour que ça se fasse. Nous avons fixé la première répétition au 31 janvier, mais je ne suis vraiment pas confiant et je doute fort d’y travailler d’ici là, surtout avec Odile en tête, qui occupe de plus en plus mes pensées. Je ne cesse d’imaginer mon entrée ce jour-là, dans cette salle inconnue, les quelques marches à gravir pour atteindre l’estrade, l’estrade en elle-même et moi surplombant la « foule ». Je suis tendu comme un arc à cette seule idée... Elle m’a dit qu’elle avait trouvé un bassoniste pour la seule et unique pièce (solo) que je lui avais consacré*...

Nous avons pris quelques dates, je vais devoir passer des coups de fil pour les confronter à celles que Marie Noëlle et Isabelle me fourniront lorsque j’aurais réussi à les contacter…

J’ai vu Anne au vernissage chez STAZI ; elle n’a pas beaucoup de temps, n’est pas prête pour ses pièces solo...

 

* Augustin de Capistran (note du 7 septembre 2021)