Tout semble bien s’annoncer et je suis d’autant plus satisfait, et content, que cette entreprise prend la tournure d’une collaboration, d’un travail, sinon collectif, du moins d’ensemble, auquel je voudrais faire participer un maximum de connaissances.
Je m’efforce au maximum de concentrer mes pensées sur l’enregistrement et non sur la finalité, c’est-à-dire la scène. Mais, évidemment, je ne pense qu’à ça, à ce que ça sera, à ce que ça deviendra ; à cette chose encore vague dans mon esprit, que je ne parviens pas à imaginer réalisable et qui, de plus en plus, prend la forme et le nom d’opéra...
(Je jubile à l’idée de cette faveur inestimable que me ferait Olivette en acceptant de prêter sa voix à Zita…)