Petite anecdote qui mérite d’être relatée. Lorsque nous sommes arrivés, Aiko jouait du piano au premier. Nous sommes montés, Bernard en premier, suivi de Richard et d’Anne, et enfin, avec un peu de retard, moi. Lorsque l’on est au clavier, on tourne le dos à la porte. Aiko jouait, et n’a cessé que lorsque nous avons tous été dans la pièce, moi en dernier derrière Anne et Bernard. Elle s’est alors retournée et en voyant Richard (elle ne le connaissait pas et ignorait que nous venions à trois), elle s’est écriée : « Oh, qu’est-ce que tu as changé ! » Ce n’est que lorsque je suis apparu à sa vue qu’elle s’est rendue compte de sa méprise. (« Sans doute le gros nez », a dit Anne avec un sourire…)

À ce jour, aucune nouvelle des autres instrumentistes malgré leurs promesses. Je vais de nouveau devoir tout relancer...