Il y a une quinzaine de jours, Tibère m’avait proposé une place dans sa revue : un article consacré à la musique. J’ai accepté et commencé en prenant quelques notes :

Mon avantage : être arrivé à la musique « sérieuse » après l’expérience du rock et du free-jazz.

Mélomane : qui aime une musique et non pas la musique.

Quiconque issu du classique ne pourra jamais, à quelques rares exceptions près – quoique je n’en connaisse pas –, accéder à quelque autre musique que ce soit. L’enseignement tue. L’éducation telle qu’elle est pratiquée – et la musique ne s’enseigne pas, mais se transmet, ou se partage – condamne le client du Conservatoire à la séquestration à perpétuité dans le cocon suave des*       

Voir Bartók et Stravinsky qui s’essaient au « jazz ».

A contrario Stockhausen pour Samstag aus Licht**

 

* tel quel, inachevé

** encore que ça reste tout de même un peu policé (notes du 17 septembre 2021)