J’ai appelé Marcelle. René est en pleine grève, n’a pas la tête à la musique. Par contre, elle est disponible et disposée à jouer quand je le désire. Nous avons pris une date pour l’enregistrement de ses pièces solo...

J’ai appelé Alex : il est « en pleine léthargie ». Il n’a donc pas travaillé sa flûte. En outre, Richard me l’a réclamée il y a quelques jours...

J’ai appelé Christelle, l’altiste. Ça ne répondait pas. Quelques minutes plus tard, j’ai su par Aurélia qu’elle était à Bruxelles. Elle ne m’a pas semblé très chaude (c’est d’Aurélia que je parle) et j’ai eu envie de lui dire que j’avais une autre violoncelliste. D’ailleurs, je me demande si je ne le ferai pas lorsque je la rappellerai (cette fois, c’est d’Aurélia qu’il s’agit*) pour que nous fixions des dates. C’est sans doute la meilleure solution, d’autant que désormais j’ai beaucoup plus envie que Marie-Noëlle joue plutôt qu’Aurélia (et elle a « beaucoup de travail »). Je ne suis pas sûr non plus que je puisse me fier à Christelle (également très prise)...

 

 

* quelque chose m’échappe (note du 29 août 2021)