J’écrivais quand le téléphone a sonné. Valérie devait m’appeler, j’attendais son coup de fil ; j’avais même hésité à m’y mettre, car je savais que ce que j’avais à rapporter allait me demander du temps, de l’attention et de la concentration tant étaient confuses mes pensées. J’écrivais : « Je disais, je pensais » et le téléphone a sonné. C’était bien Valérie. Deux heures s’étaient écoulées lorsque j’ai raccroché...