J’ai passé plusieurs coups de fil :
- à Marie, qui m’annonce qu’elle a une tendinite et ne pourra pas jouer Jeanne d’Arc jeudi matin ; ça me contrarie beaucoup, et je n’ai pas très apprécié son ton un peu désinvolte au téléphone ; elle me demande aussi s’il n’est pas possible de revoir les partitions écrites trop dans l’aigu pour l’alto (« c’est injouable ; et c’est dommage pour l’instrument ») ; je lui ai promis une éventuelle transcription, nous nous voyons le 25 ;
- à Bernard, je lui soumets les trois noms que Valérie m’a laissés pour le second violon, il choisit Isabelle Dumélie ;
- à Isabelle, donc ; je la vois samedi après-midi ;
- à Marie-Noëlle, pour lui proposer les deux pièces solo pour violoncelle, elle a immédiatement accepté, nous nous voyons mercredi prochain ;
- à Yann, qui, pour toute réponse, me transmet son message téléphonique ; il y a quelque chose d’irréel dans cette affaire, qui me trouble, m’intrigue et, au bout du compte, m’agace et me fatigue...