Désert du journal. Ça empire. Je n’y pense même plus... Je cherche en vain ce qui s’est passé ce vendredi. Samedi, balade avec Mercedes, puis je suis passé chez Léo la lui montrer. Nous sommes allés en jouir sur l’autoroute, puis sur les routes de campagne ; il l’a conduite, nous jubilions comme des enfants. Dimanche, repas chez Guillemette. Mercedes force l’admiration de tous. Lundi, puces. Sur la route du retour, surchauffe du moteur, de la fumée s’est échappé du capot. J’étais désespéré, Éléonore m’a rassuré. Je l’ai portée chez Gaspard, le garagiste du bout de la rue, ce n’est qu’une durite. Je suis passé à l’appartement : Valérie y était avec sa mère et son petit. Nous nous voyons vendredi pour une répétition générale. Aujourd’hui, répétition chant, comme d’habitude, le mercredi, depuis le début des temps. Il reste à peine dix jours avant la fête ; à la fin de la semaine, j’envoie les invitations... Je travaille à Mr Gloom. Ça avance bien, mais ça ne sera jamais prêt pour la prochaine sortie. Je n’ai toujours pas constitué le dossier pour la Rue V...
Il fait bon. Tout va bien...