Nina (I : au lit) (II : au stade) (1’42’’/4’13’’)
Mêmes conditions. Après une suite de notes laborieuses et à l’intérêt plus que douteux s’est dessiné un thème d’un certain attrait.
Nina (désormais, chaque pièce portera le nom du saint du jour) inaugure cette seconde piste en parallèle avec Édouard, sur la première piste.
Idée : faire se rejoindre, voire se superposer, le Roman de l’année et le Journal musical, ce dernier pouvant être la musique du premier ; faire lecture du texte sur le passage musical en question, par exemple. Néanmoins, il y a un inconvénient, et de taille : d’une année à l’autre, les saints ne correspondent pas ; ainsi Peggy et Mélaine n’existaient pas en 1991. Que faire ? (une autre solution consisterait à considérer la musique comme étant celle du jour – du temps, ce qui serait bien logique pour la musique – et non celle du saint... Affaire à suivre...)