« Une industrialisation de la mort aux relents modernes se fait jour : chaque militaire japonais se voit assigner un “ quota ” minimal de trois nez coréens à expédier au Japon, dans une atmosphère de compétition entre armées claniques nipponnes. La “ tombe ” de ces nez – entre 100 00 et 200 000 –, au temple Hôkôji de Kyôto, constitue encore une attraction touristique. »
Y serais-je allé si je l’avais su ?